Rôle titre de Don César de Bazan de Jules Massenet :

Jean-Baptiste Dumora incarne le rôle titre avec un bagout irresistible et une voix de baryton large et sonore.
Michel Parouty - Opéra Magazine - mai 2016

Dans le rôle titre, Jean-Baptiste Dumora signe une incarnation pleine d'engagement et de relief, de l'abattement initial d'un grand d'Espagne ruiné et condamné à mort jusqu'au rebondissement final...
Alain Cochard - concertclassic.com - 13 mars 2016

En tête d'une distribution où personne ne démérite, le baryton Jean-Baptiste Dumora compose un Don César aussi pittoresque qu'attachant...
Sophie Bourdais - Télérama - 29 mars 2016

Ainsi du Don César de Jean-Baptiste Dumora qui passe avec conviction du rire à l'émotion et de la truculence alcoolisée à la grandeur d'âme. Déjouant les intrigues d'un infâme courtisan, il gagne le cœur de la belle Maritana et la tendresse filiale du jeune Lazarille...
Emmanuelle Giuliani - La Croix - 17 avril 2016

Enfin dans le rôle principal, Jean-Baptiste Dumora se montre assez Impérial tant il possède tous les accents du personnage depuis le côté désabusé du premier acte jusqu'à retrouver toute sa noblesse de ton alors qu'il assume dans le dernier acte son rang et sa femme. Les sous-entendus du texte, les alternances chant et parole, tout cela est parfaitement construit par un chanteur qui semble totalement à l'aise dans ce répertoire de demi-caractère. Le timbre de baryton léger se coule parfaitement dans le personnage tout en recoins comme dans la tessiture. À ce chant impressionnant de facilité et de naturel s'ajoute le jeu très convaincant de l'acteur. Depuis l'alcoolique jusqu'à l'homme d'honneur, il campe Don César de manière saisissante répondant aux sarcasme par la noblesse tout en ayant soin de mettre en avant le comique de situation ou de texte.
Carnets d'Erik - 19 mars 2016

Clavaroche dans Fortunio d'André Messager :

Le baryton Jean-Baptiste Dumora est très à l'aise en Clavaroche. La fermeté d'accents, le sens de la prosodie, l'insolence de la projection et de l'émission sur tous les registres s'allient efficacement à l'abattage scénique pour servir l'œuvre de son vénéré ancêtre.
Patrick Favre-Tissot - Lyon-newsletter.com - mars 2011

 

Mélodies d'Henri Dutilleux avec Noël Lee

L'offrande la plus éblouissante du programme à Orsay, reste les mélodies composées par Henri Dutilleux, et qui formaient l'apothéose du concert. Prix de Rome en 1938 avec la Cantate L'Anneau du Roi (initialement programmée), le compositeur contemporain préférait valider pour la soirée ses Mélodies d'après les Sonnets de Jean Cassou (1954) dont la dernière, saisissante par sa gravité et sa profondeur poétique, Éloignez vous, était même donnée en création mondiale! Superbe écriture d'une simplicité étonnante laissant au pouvoir du verbe, sa libre expressivité, à la fois recueillie et hallucinée. En diseur fin et racé, d'une éloquence sobre à l'économie prodigieuse, le jeune baryton Jean-Baptiste Dumora trouve le ton juste, intense, solennel, jamais poseur. Une révélation à porter au crédit du programme.
classiquenews.com - octobre 2010

 

Prosper Aubertin dans O mon bel inconnu de Reynaldo Hahn

Jean-Baptiste Dumora use de sa stature physique ainsi que d’un instrument sain et sonore dont il sait user avec délicatesse, pour camper avec entrain le chapelier Prosper Aubertin, tyran domestique oscillant entre ridicule et manipulation.
Resmusica - janvier 2009

Jean-Baptiste Dumora, en Aubertin, porte bien sûr toute l'oeuvre sur ses épaules d'artiste rompu à ce répertoire, en parfait comédien et chanteur accompli.
crescendo-magazine.be - mars 2010

 

Paul dans Les Enfants Terribles de Philip Glass

Celui qui s'avère le meilleur élément du plateau est sans aucun doute le baryton Jean-Baptiste Dumora, disposant à la fois d'une présence scénique de premier ordre, d'un jeu d'acteur parfaitement convainquant, d'une justesse sans faille et d'une prononciation de la langue parfaite de bout en bout.
unpourdeux.over-blog.com - mars 2009

C'est le jeune baryton Jean-Baptiste Dumora qui fait de Paul, le frère blessé et floué, le portrait le plus juste et le plus poétique...
danielawurdack.blogspot.fr - février 2009

 

Marcello dans La Bohème de Puccini

(...)les trois compagnons de misère [de Rodolpho] forment un ensemble homogène, d'où se détache quand même le Marcello de Jean-Baptiste Dumora
Opéra Magazine - janvier 2006


(...)
quant au Marcello de Jean-Baptiste Dumora, il fait preuve d'une grande sensibilité et d'un beau sens dramatique.
Le Bien Public - novembre 2005

 

Ford dans Falstaff de Verdi :

Le bonheur de la soirée vient du plateau dominé par deux fantastiques barytons. D'abord le Falstaff de Franck Leguerinel(...) Le Ford non moins impressionant de Jean-Baptiste Dumora est issu, lui, de la magnifique école lyonnaise, du temps où l'Opéra de la capitale des Gaules, sous la houlette de Louis Erlo et de Jean-Pierre Brossman, méritait le label national avec son Atelier Lyrique et sa troupe, hélas disparus depuis.
Jacques Doucelin - Opéra Magazine - novembre 2005

Les comédiens chanteurs osent le tout pour la farce (...) "Je confierais ma bière à un allemand plutôt que ma femme à elle-même !" s'écrie par exemple Fontaine, alias Jean-Baptiste Dumora, autre excellent baryton aux graves puissants et profonds.
Le Parisien - août 2005


Le Ford de Jean-Baptiste Dumora est une agréable surprise car il apporte beaucoup d’humanité à ce personnage tout en conservant sa colère (assez proche de la folie) dans son air dans l’auberge pendant que Falstaff va se préparer. Il sait également exprimer la douleur du mari trompé avec beaucoup de vérité. La voix est agile et non avare de nuances.
concertonet.com - août 2005

 

La Couronne de Fleurs de Marc-Antoine Charpentier :

De ce point de vue, les messieurs s'imposent davantage, particulièrement le baryton Jean-Baptiste Dumora.
Diapason - novembre 2004

 

Le Ballet de l'Amour Malade de Jean-Baptiste Lully :

(...)le baryton Jean-Baptiste Dumora a une fois de plus prouvé son aisance dans le répertoire français tant au niveau du style que de la technique et de la diction.
Classica - juillet/août 2004

 

Enregistrement de l'intégrale des Mélodies d'André Messager :

(...)la diction est somptueuse, le phrasé d'une distinction souveraine, le souffle long. L'accompagnement de Didier Puntos mérite autant d'éloges(...)
Diapason - avril 2001

Le baryton a la voix et le style exigés par ce repertoire si typiquement français, à commencer par une belle qualité de diction qui sait rendre à chacun de ces morceaux son juste poids d'émotion et de rêve. L'accompagnement au piano de Didier Puntos se situe, lui aussi, dans la meilleure tradition de l'interprétation des mélodies en France(...)
Opéra international - mai 2001

Jean-Baptiste Dumora a exactement le timbre élégant qui convient à cette musique de caractère encore romantique à la sensibilité souvent en demi-teintes(...)
Philippe Andriot - Le tout Lyon - mai 2001

 

Guglielmo dans Cosi fan tutte :

(...)Jean-Baptiste Dumora fait partie de la génération qui monte ; il ne cesse de gagner en autorité, et son Guglielmo a de la présence et de l’allure.

Michel Parouty - altamusica.com - janvier 2001

 

Récital de mélodies avec Didier Puntos :

Jean-Baptiste Dumora, que les mélomanes ont pu entendre plusieurs saisons de suite à l'Opéra National de Lyon où [il] était en troupe à la grande époque(...) la voix souple, bien timbrée, le chant délié et expressif, surtout dans le médium, l'émission point trop large mais musicale et bien conduite, tout [le] pousse vers le domaine rare et privilégié de la mélodie. Il montra la chose avec autant d'évidence que de simplicité (c'est si rare en la matière !), illustrant aussi bien le Mozart inconnu de deux petites ariettes que le merveilleux et bouleversant Schumann du cycle trop négligé Liederkreis de l'opus 24. L'osmose est totale entre le texte et la musique qui le sublime. Merveilleusement accompagné (mais le mot devient faible ici), par Didier Puntos, le jeune baryton sut en restituer les inflexions les plus subtiles, les replis les plus intimes...
Gérard Corneloup - Lyon Figaro - janvier 2000

Jean Baptiste Dumora, a une affection toute particulière pour ces mélodies qu'elles soient d'André Messager, dont il est l'arrière arrière petit fils, de Claude Debussy, de Gabriel Fauré ou de Maurice Ravel, il les détaille avec subtilité et gourmandise. Un phrasé parfait, une diction irréprochable, le souffle long, une aisance vocale évidente et des talents de comédien font de ce baryton le parfait interprète d'un genre qu'il affectionne visiblement
Pierre Vian - Le Bien Public - 12 août 2002


Papageno dans ...une Petite Flûte Enchantée :

(...)un Papageno haut en couleurs dont les spectateurs ont pu, outre le talent de baryton, apprécier la finesse du jeu de scène.
Le Progrès - juin 1992


(...)le meilleur m'ayant paru, et d'assez loin, le Papageno de Jean-Baptiste Dumora.
La Croix - décembre 1992

...[les] chanteurs de l'atelier lyrique de l'opéra de Lyon se montrent à la hauteur des difficultés d'airs connus de tous. La plupart changent d'un soir à l'autre à l'exception du Papageno de l'excellent Jean-Baptiste Dumora, joyeusement complice de toute cette marmaille.
Jacques Doucelin - Le Figaro - janvier 1995

(...)le public, ravi, a longtemps ovationné les chanteurs et musiciens tous excellents. Avec une petite mention spéciale pour Jean-Baptiste Dumora, inoubliable de drôlerie et de tendresse dans le rôle si attachant et terriblement humain de Papageno.
Le Dauphiné - octobre 1996

 

 

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